Les secondes passent Lorsque je t’embrasse Alors
Les secondes passent
Lorsque je t’embrasse
Alors que tu te lasse
Et que le bonheur s’efface
Que tu me regarde en face
Dans l’espace
Les secondes passent
Lorsque je t’embrasse
Alors que tu te lasse
Et que le bonheur s’efface
Que tu me regarde en face
Dans l’espace
Le temps passe
Je souffre
Puis je me lasse
Et je de désespère
Cela est une habitude
Est-ce que ça continuera ?
Dans l’attitude
Tout doucement le jour ce leva
puis je souris
hélas tout bascula
le ciel devenu gris
le honneur se renferma
alors que je vire au cauchemar
il m’embrassa
lorsqu’il faisait tard
afin de m’éblouir
et que je ne parte pas
pour me conquérir
Pendant que je lui disais
Tout ce que je ressentais
Les ruisseaux coulaient
Les fleurs se mirent à sécher
C’est l’autome qui arrivait
Alors la lune partait
Compter ses étoiles
Jusqu’à que le désespoir s’éloigne
Durant le passé
Lorsqu’on s’embrassait
Et que le sang coulait
Que tu me pinçais
Pour tout recommencer
Il abandonna tout sur son chemin
Hélas la tempête commença
Mais cela lui convenais pas
Alors il nous tendit sa main
il Imposa sa présence
Et ne s’y intéressa point
Venu l’heure de son absence
Que Cela étais certain
L’Horreur infesta mon âme,
Une étoiles s’y installa.
Cette joie s’en va,
L’ombre y retourna,
Tout espoir s’effaça.
Et mon coeur s’éclata.
J’écris a l’ancre sur ton corps,
Des caresse à la plume d’or.
La tristesse que tu m’appelle,
Reviens jusqu’à ma lame.
La paresse au lendemain,
L’éternité touche à ça fin,
et la mort viendras.
Mars 2019
Dans un rêve inconnu,
Je t’ai aperçu au loin,
Comme une lumière dans l’obscurité,
Je t’ai aimé puis détester.
Es ce tourment dans ma tête ?
Tu es le désir de mon cœur,
Sous ses flammes qui t’entourent,
Puis s’éloignent quand tu part.
Je t’ai jamais rencontré,
Perdu dans mon rêve,
Je t’aimerais jusqu’à l’éternité.
Premiere ère poème écrit : avril 2018
Dans un rêve inconstance,
Sous mon ignorance
S’étale un cauchemar d’éclat de l’horreur
se transforme t’elle un papillon voyeur
Disparaît quand l’art du chagrin tourne vers l’abondance.